Os partidos da Internacional Socialista, na União Europeia, vivem a pior crise de sempre, uma crise de implosão generalizada em que a única excepção parece ser o PS de António Costa. O Labour já deixou o "New" e "it's a mess". O SPD, que foi o grande partido da Alemanha com Willy Brandt e Helmut Schmidt, derrete-se como neve ao sol. O PASOK grego é uma recordação. O italiano nem se sabe por onde anda. Na "exemplar" Escandinávia, uma pequena e muito relativa vitória já é motivo de grande festa. Em Madrid, um insólito Pedro Sanchez obtém uma vitória de Pirro e não consegue juntar as pontas. No leste da UE, organizado no Grupo de Visegrado à volta da estratégia Intermarium, a hegemonia dos conservadores anti-'neo-liberais' é total. Em França, o partido de Leon Blum e de François Mitterrand obtém tanto votos como o partido dos cãezinhos e luta desesperadamente para ficar acima da fasquia dos 5%... Porém, ainda detém alguns móveis e quadros mesmo se teve de vender a sua sede, o histórico edifício de Solferino. Ora, são esses "móveis e quadros" que Macron agora lhe pretende roubar, numa operação de Verão, acabadinha de ser atingida por um potente torpedo (que provavelmente a afundou...), numa bela "démarche" de guerra de informação. Parece que, apesar da "débacle", ainda resta no PSF quem saiba mexer na sopa...
Une note dévoile comment La République en Marche veut «liquider» le PS
Le directeur de cabinet de Richard Ferrand indique dans une note datée du 21 juin à Emmanuel Macron sa stratégie pour liquider le Parti socialiste, selon «le Point».
Par L'Obs | 04 juillet 2019 à 18h57
Dans un article publié ce jeudi matin, «le Point» révèle que le Jean-Marie Girier, le directeur de cabinet du président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand, a écrit une note à l’intention d’Emmanuel Macron, dans laquelle il expose une stratégie pour rallier à la majorité les membres du Parti socialiste.
O PS "tuíta" a prova do crime...
Les trois pages à en-tête de l’Assemblée nationale déroulent en détail les mesures à prendre. Afin de rallier les élus «constructifs» du PS, il faudra créer un nouveau courant de dissidence, dans le même style que ce qui s’est fait avec la création du parti Agir chez les exclus des Républicains en 2017, qui ont finalement rejoint La République en Marche (LREM).
Une opération détaillée
Mais dans ce cas, Jean-Marie Girier préconise plutôt un courant souple, car il est essentiel selon lui «de ne pas demander à ses élus de quitter le Parti socialiste» pour éviter un «choc» à sa direction. La création de cette structure reposerait pour beaucoup sur des appels d’élus, qui seraient ensuite repris dans les médias, afin de «rassembler des maires socialistes sortants, qui doivent être la bannière de cette démarche». Tout cela en veillant à ne pas apparaître comme «une opération de blanchiment d’ex-socialistes en quête de retour».
La note prévoit même un calendrier pour cette opération de séduction s’étendant de juin à septembre. En juillet est prévue une «tribune des réformateurs»; puis, la structure verrait le jour le 24 août; en septembre interviendrait une «vague d’investitures et de soutiens LREM à des maires socialistes». Le directeur de cabinet conclut: «Ce maillage sera précieux en vue des élections sénatoriales.»
Une task force issue des ministères
Le secrétaire général du Parti socialiste, Olivier Faure, a partagé la note incriminée dans son intégralité sur Twitter, où il dénonce un travail de «barbouzes de la République». Le chef du PS s’insurge notamment du fait que des «membres de cabinets ministériels servent à d’autres missions que celles pour lesquelles ils ont été payés».
Le stratège prévoit en effet d’employer plusieurs hauts fonctionnaires dans son opération, comme le conseiller politique du président Maxance Barré, ou le conseiller politique et parlementaire du ministre des Affaires étrangères Baptiste Prudhomme.
L'Obs
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